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#flashinfo, 16 juillet. Efficience énergétique, consommation responsable de l’eau et de l’énergie dans l’activité de production
Le 16 juillet, la CCIFER a organisé une nouvelle édition du Matinal Digital où il y a eu des discussions liées à la stratégie de la Roumanie et les actions du milieu des affaires pour augmenter l’efficience énergétique et garantir une consommation responsable de l’eau et de l’énergie dans l’activité de production.
Les invités :
- Niculae HAVRILET – Secrétaire d’Etat, le Ministère de l’Economie, de l’Energie et du Milieu des Affaires
- Lucian ENARU – CEO, Schneider Romania
Moderateur: Stefan POPESCU, Deputy Director for Public and Regulatory Affaires, Engie Romania
Les idées principales :
Les Plans du Ministère de l’Economie, de l’Energie et du Milieu des Affaires concernant l’efficience énergétique
Nicolae Havrilet, Secrétaire d’Etat, a développé les principales politiques énergétique en Roumanie comme :
- La Stratégie Energétique nationale, finalisée en 2016-2017, et comme cadre d’action directe il existe le Plan National Intégré dans le domaine de l’Energie et des Changements Climatiques. Ce plan représente une procédure par laquelle l’Union Européenne veille à la mise en application de la politique commune dans le secteur de l’énergie en Europe pour toutes les Etats membres et qui doit être validée par la Commission Européenne.
- Le Plan National Intégré dans le domaine de l’Energie et des Changements Climatiques est basée sur des stratégies d’efficience énergétique, dans un premier temps at dans un deuxième temps, il a comme but la mise en application des politiques de décarbonisation, pour que jusqu’en 2030 on puisse réduire les émissions de charbon, et les éliminer complètement jusqu’en 2050. Cette activité est dirigée par la Direction d’efficacité énergétique.
- Il y a une série de projets comme Just Transition Fund qui est dédié aux départements du Gorj et Hunedoara, où a décarbonisation sera renforcée et il y aura des transformations qui vont générer une requalification de la main d’œuvre.
- Un montant de 4,4 milliards d’euro sera orienté vers les départements où la pollution est très élevée, comme : Galați, Mureș, Prahova et Dolj. Il y aura un budget pour la mise en place des politiques pour l’efficacité énergétique.
- En ce qui concerne la Stratégie de Cooling et Heating pour les bâtiments, le Ministère participera en tant que collaborateur pour les problèmes liés au financement.
- On souhaite la transition vers l’utilisation de l’hydrogène vert (l’Allemagne).
- La Roumanie a un potentiel concernant l’utilisation de l’énergie éolienne dans la région de la Mer Noire, avec des possibilités de l’installation de 50 000 MW.
- La Roumanie a des grandes opportunités, il y a également d’autres entreprises qui expriment leur intérêt d’investir dans ces zones – la construction d’un Parc photovoltaïque. Les Pays Bas ont commencés un projet avec la Roumanie de 1000 MW d’énergie éolienne. Le Portugal a aussi présenté un projet de collaboration pour la production d’hydrogène vert.
- Dans cette nouvelle étape de développement de la production dans des zones régénérables, le Ministère met en application un autre système de soutien qui est basé sur certificatelor cu diferenta. Il y a un consultant pour la mise en œuvre de ce mécanisme.
- Il y a eu une proposition pour la mise en application d’un programme de construction des bornes électriques pour le rechargement des véhicules de la zone de HORECA (mais toute PME peut décrocher cette ressource) mais aussi des panneaux photovoltaïques à une puissance de jusqu’à 27 KW.
- La Roumanie est un partenaire important pour la Commission Européenne concernant la politique de décarbonisation et il est souhaité d’atteindre environ 37% d’énergie pure.
L’efficience énergétique du point de vue de la relation entre l’énergie, la digitalisation et les tendances du la période actuelle
Lucian Enaru, CEO Schnaider Romania, a souligné le fait que toutes les politiques du domaine énergétique représentent le résultat des tendances auxquelles on doit faire face. Aujourd’hui, il s’agit d’un management de l’énergie et donc de l’automatisation.
- La première tendance est l’urbanisation. Pour pouvoir bien vivre dans les villes, il faut faire appel à des standards qui sont les plus élevés, d’où les notions de smart city, de l’automatisation en ville, d’automobiles électriques, etc.
- Le deuxième trend est la digitalisation – surtout pendant la pandémie. Probablement, le milieu virtuel a été beaucoup utilisé par rapport à d’autres périodes, donc la digitalisation est un processus en accélération. Jusqu’en 2050 on aura plus de 50 milliards d’éléments connectés. On observe une tendance envisagé par les centres de données – la consommation énergétique de la zone des centres de données s’est doublés dans le dernier temps. Tous les acteurs doivent être rapides pour pouvoir adapter leurs propres politiques dans le domaine énergétique.
- La troisième tendance est l’industrialisation. On estime que l’industrie est responsable de plus de 30% de la consommation énergétique et cela augmentera vers 50%.
- Il y a deux éléments disruptifs : la transition énergétique (l’adaptation des carburants fossiles classique pour les énergies régénérables) et la transition digitale. Ces deux éléments sont interconnectés. Par exemple, aujourd’hui, toutes les entreprises ont un système avancé pour monitoriser l’énergie. Il a des plateformes qui génèrent des prédictions. Si on parle de l’efficience énergétique, il faut évoquer les savings, l’électrification et la décarbonisation. Il faut prendre en considération l’efficacité et il faut suivre ce processus. Schneider offre des plateformes pour motoriser l’énergie en cloud – on side et off side.